Il s'appelle Jacques Bénigne, comme Bossuet. Un prénom de prédicateur, d'évêque, qui en fait une façon d'icône, de dieu en chaire et tweed pour un narrateur qui n'attend qu'une date dans l'année : celle de l'anniversaire de son idole. Et puis Jacques Bénigne meurt : la chaire est vide, la bière pleine. L'autre chair redevient triste. De Jacques Bénigne, d'ailleurs, que dire ? À lire comme on savourerait l'huître du condamné.
Détails du livre
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Éditeur
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Texte original
Oui -
Langue
Français -
Date de publication
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Nombre de pages
160 -
Thème