La peau et les os : c’est ce qui reste à Georges Hyvernaud en 1945, quand il rentre d’Allemagne après cinq ans de captivité. Une version nue de l’humanité où, pour échapper à la folie, on doit entre autres faire semblant, n’être plus qu’un semblant de vivant, une machine à pelleter les morts et surtout à ne pas penser. Publié en 1949 aux Éditions du Scorpion, c’est le récit acéré des souvenirs de la maison des morts-vivants mis à nus dans un camp de détention. Malheureusement un chef-d’oeuvre, que ce procès de la barbarie moderne. Ceci n’est pas vraiment un roman.
                          
                          
                          
                        Dettagli libro
- 
        
Editore
 - 
        
Testo originale
Sì - 
        
        
Lingua
Francese - 
        
Data di pubblicazione
 - 
        
Numero di pagine
158 

